Travailler sur un accord cadre entre le Québec/Canada et la France, de reconnaissance des diplômes, des formations et des expériences professionnelles ou métiers afin de faciliter sur le long terme, au maximum les échanges et les flux migratoires ou professionnels entre ces deux pays, en mettant de l’avant le pragmatisme plutôt que le protectionnisme dépassé et conséquemment en supprimant le plus possible les irritants administratifs longs et lourds.
Cet accord ne peut réellement être obtenu sans intéresser activement les corps de métiers, les ordres professionnels, les chambres de commerce, enfin les collèges professionnels et les universités.